Depuis le 22 août 2015, le Maroc est en effervescence électorale et l’ensemble des candidats aux communales et régionales défendent, dans un respect le plus total des lois, leur programme devant les électeurs.
De Tanger à Lagouira, les leaders et responsables de partis politiques tiennent meetings sur meetings pour présenter leur vision du Maroc de demain et celui qu’ils considèrent le plus apte à mener cette mission.
Les électrices marocaines et électeurs marocains restent attentifs aux discours des uns et des autres pour qu’elles et qu’ils puissent prendre la bonne décision lorsqu’elles et qu’ils seront dans l’isoloir du centre de vote ; un vote qui engage l’avenir du Maroc, sa stabilité et qui sera précurseur de jours sereins pour les générations actuelles et futures.
Quant à ceux qui appellent au boycott de cette double échéance, ils ne représentent rien et n’ont aucune crédibilité auprès du peuple marocain. Des huluberlus qui vivent encore au temps du stalinisme et ont oublié que la Perestroika est passée en ex-Union Soviétique depuis belle lurette.
Il est donc inutile pour ce petit groupe marxiste léniniste et stalinien, sans aucun poids sur la scène politique marocaine de faire appel à son pendant français, qui lui même est totalement politiquement effondré, pour diffuser, à travers son quotidien, qui devrait revoir ses humanités, son message de boycott des prochaines élections marocaines.
Que ce parti français, qu’il est inutile ce nommer, s’occupe des futures échéances électorales qui se dérouleront en France et à l’issue desquelles il s’effondrera encore plus et dont plus de la moitié de ses adhérents n’ont pas payé leur cotisation, soit 70 000 personnes ; un chiffre qui démontre le peu d’intérêt des français pour ce parti préhistorique.
Farid Mnebhi.