Ce qui se passe en Palestine dépasse les limites que peut endurer l’humain : c’est juste surréaliste.
Depuis 1948 à nos jours, et à chaque jour, l’occupant gruge dans le territoire, pour finir par concentrer ce qui reste des Palestiniens dans deux camps, encerclés de tout bord, et ouverts au ciel. Tant pis pour ceux partis ailleurs, car jamais l’occupant n’admit leur retour. Au fil des ans, et jour après jour, les Palestiniens se font expulser de ce qui reste de leurs demeures ailleurs, et se font remplacer par des colons juifs. Ils n’ont de choix que de s’entasser avec les autres damnés dans ces prisons à ciel ouvert, ou d’errer sur terre à la merci du UNHCR.
Entre temps, les damnés procréent, leur nombre augmente et leur territoire diminue, leurs besoins de survie augmentent et leur champs de manœuvre diminuent.
Sur terre, encerclés, ils creusent alors sous terre, pour survivre. Et, s’ils lèvent leurs têtes, vers le ciel pour crier, l’occupant active sa pluie de bombes.
C’est ça le sort des Palestiniens. Ça dépasse toutes les notions réalistes : occupation, colonisation, apartheid, ségrégation, etc.
C’est juste surréaliste